Le vendredi 16 juin 2023 s'est tenu le dernier conseil de promotion des inspecteurs et inspectrices stagiaires promotion 2022/2023.

Le fait qu’il se déroule au cœur de la période du stage pratique probatoire rend la présence des représentant.es des stagiaires plus compliquée mais vos élu.es de Solidaires Finances Publiques ont tout de même réussi à faire entendre vos revendications une dernière fois.

Liminaire

Après un 1er mai historique par son unité syndicale et la large mobilisation populaire contre la réforme des retraites (près de 2 millions de personnes présentes dans les manifestations), l’intersyndicale interprofessionnelle a appelé à une nouvelle journée de grève et de mobilisation le 6 juin 2023.

Solidaires Finances Publiques s’est inscrit pleinement dans cette mobilisation en faisant le lien sur le sujet de la rémunération qui demeure un enjeu majeur au regard des pertes de salaires accumulées depuis de nombreuses années, et de l’inflation qui frappe durement toute la population.

N’oublions pas qu’une meilleure rémunération engendre une meilleure pension.

Dans un contexte d’urgence sociale, la question salariale est au cœur de la contestation. Ce sujet est central pour les salariés et les fonctionnaires.

Avec une revalorisation marginale de 1,5 % du point d’indice au 1er juillet, on reste très loin d’un rattrapage de l’inflation qui frôle les 10 % !

Dans les prochaines semaines, des négociations et discussions vont s’engager :

  • Au ministère où des discussions vont également se tenir au cours du mois de juin autour de l’IMT et sur le sujet des carrières ;
  • A la DGFiP avec le sujet de l’indemnitaire version ACF qui débutera le 7 juillet.

Solidaires Finances Publiques continue de revendiquer le retrait de la réforme des retraites et exige de meilleurs salaires, pour de meilleures retraites ! Et sans oublier notre demande qui, elle, concerne directement l’ENFiP : la nécessaire revalorisation des indemnités de stage en formation initiale, qui sont bloquées depuis 2006.

Concernant les points à l’ordre du jour :

1/ Sur les résultats des évaluations du bloc fonctionnel

Solidaires Finances Publiques reste opposé au principe des évaluations probatoires, néanmoins, dans l’attente d’un changement de position administrative que nous espérons toujours sur le sujet, nous vous faisons remonter nos réflexions.

Nous tenons à souligner notre inquiétude sur les très mauvais résultats des évaluations.

Les taux de non validation sont très élevés pour plusieurs UC :
- UC1 du Bloc Contrôle Fiscal : 43 % de non validation,
- UC2 et 3 du Bloc Gestion Fiscale : avec respectivement 39 et 44 % de non validation,
- UC1 et 2 du Bloc GPE avec respectivement 28 et 63 % de non validation,
- UC1 et 3 du Bloc Foncier avec respectivement 40 et 35 % de non validation.

En dehors des oraux, on note également une disparité très forte en termes de réussite suivant les UC et les blocs. Comment expliquer que, en prenant l’exemple du bloc GPE, l’ensemble des stagiaires ait réussi l’UC3 alors que seulement 37 % ont réussi l’UC2 ?

Les résultats de ces UC sont aussi à comparer avec les UC socle où le plus mauvais taux de non validation était de 13 %, pour l’épreuve de comptabilité. Ces très mauvais résultats méritent une réflexion approfondie quant à leur origine. Épreuves trop complexes, dans un temps trop court ? Difficultés dans l’assimilation en fin de scolarité ?

Il est aussi important de mesurer l’effet sur les stagiaires : angoisse jusqu’au bout de la scolarité sur la titularisation, sentiment de ne pas maîtriser certaines connaissances de base pour la première prise de poste.

En revenant sur les documents de l’année dernière, on peut se rendre compte que ces problèmes ne sont pas nouveaux.

Pour la session 2021-2022 :
- GPE : 86 % des stagiaires n’avaient pas validé l’UC 2 ;
- GF : 53 % n’avaient pas validé l’UC2 et 45 % n’avaient pas validé l’UC3 ;
- GPL : 34 % n’avaient pas validé l’UC2 et 25 % l’UC 3 ;
- CF : 47 % n’avaient pas validé l’UC3.

A notre sens, vos documents manquent d’appréciation sur le contenu des épreuves et leur complexité ; un avis des équipes enseignantes sur le contenu et la durée des épreuves est lui aussi indispensable pour l’amélioration des UC pour les prochaines scolarités.

La mise en place du projet Ariane, sur lequel nous reviendrons plus tard dans cette liminaire, doit aussi prendre en compte cette situation d’échec sur les UC du bloc fonctionnel, pour ne pas l’aggraver.

Lors du troisième conseil de promotion de la précédente session, vous aviez répondu à des interrogations similaires : « le niveau d’évaluation est homogène entre toutes les UC et entre les différents blocs ».

Au vu de la répétition de très fortes disparités de résultats entre les UC, avez-vous gardé la même analyse ? Vous comprendrez bien que pour Solidaires Finances Publiques, il y a une nécessité d’harmonisation et de révision des UC en vue de la prochaine scolarité.

Pour revenir à nos collègues qui n’ont pas validé la scolarité théorique, nous avons plusieurs interrogations :
- Pourquoi les chefs de services ont-ils été informés avant les stagiaires sur l’échec de leur scolarité ?? Cela les a mis mal à l’aise car au moment où ils l’ont annoncé à leur hiérarchie, cette dernière était déjà au courant…
- Est-il possible que ces stagiaires soient dispensés des estivales s’ils le souhaitent ? Car cela n’a aucun sens d’y assister en ce qui les concerne… À part une situation humiliante supplémentaire avec les frais que cela engendre.

2/ Sur les résultats globaux de la validation des compétences en établissement

17 stagiaires sur 1 144 n’ont pas validé, soit 1,5 %.

Si en termes de pourcentage cela paraît peu, c’est un chiffre en augmentation par rapport aux années passées. L’année dernière, ce sont 11 stagiaires qui n’avaient pas validé, soit 1 % de la formation.

C’était déjà le double des sessions 2018-2019 et 2019-2020 qui avaient un taux de non validation de 0,5 %. En trois ans, on est donc passé à un triplement du taux de recalage à l’issue de la formation en établissement.

La seule amélioration est le taux de réussite de l’ensemble des UC, qui passe de 30 % l’année dernière à 41 % cette année.

Mais nous ne pouvons pas nous satisfaire du constat que seuls 4 stagiaires sur 10 sont considérés comme ayant acquis l’ensemble des bases de leur futur poste de cadre A.

3/ Sur la synthèse de l’évaluation du bloc fonctionnel

Vous avez reçu 926 réponses, soit 83 % des stagiaires.

Sur l’organisation de ce questionnaire, nous souhaitons que soient notées les relances que nous avons faites auprès des établissements et des collègues pour que ce taux soit suffisamment haut. Après un incident informatique ayant empêché la réalisation du questionnaire le dernier jour de scolarité, et un premier mail de relance donnant un délai de réponse trop court, et sans le rappel du lien de connexion, un dernier mail a finalement donné toutes les informations, avec un délai prorogé d’une seule journée pour finaliser le questionnaire.

Avec une meilleure organisation et un délai plus long, nous pensons qu’un taux de réponse encore supérieur aurait pu être obtenu.

Sur le contenu du questionnaire, nous regrettons l’absence de questions sur le ressenti de la formation. Une grande partie des sollicitations et remarques des stagiaires que nous avons eues portait sur les difficultés de conciliation vie privée / vie professionnelle lors de la scolarité, et leurs difficultés sur des sujets à remonter aux RH : problèmes de transport, gestion des gardes d’enfants, logement, problèmes de santé, etc.

Outre l’aspect contenu de la formation, l’aspect accompagnement des stagiaires doit être plus finement analysé pour l’améliorer.

En plus des chiffres et taux, nous apprécions le travail de compilation qui a été fait sur les commentaires des collègues pour avoir une appréciation plus précise des réponses.

Par exemple :

« Les stagiaires indiquent que le volume d'heures consacrées aux enseignements fondamentaux n’est pas correctement reparti au regard de la difficulté et la technicité de certains sujets. Ils signalent ne pas avoir suffisamment de temps pour assimiler les connaissances, les reformuler ou les mettre véritablement en pratique. »

Sur ce point, Solidaires Finances Publiques est en attente d’un retour de l’ENFiP, avec l’éclairage des collègues enseignants qui ont eu les retours des stagiaires durant l’ensemble du déroulé des modules.

Autre commentaire :

"63 % des stagiaires ont jugé le format de l’épreuve écrite n° 2 adapté et seulement 26 % en ce qui concerne sa durée. Le manque de temps pour réaliser l’épreuve est mis en avant par certains stagiaires."

Solidaires Finances Publiques rejoint cette appréciation, les temps d’épreuve étaient trop courts au vu de la complexité de certaines UC. Certaines épreuves étaient de fait des épreuves de rapidité, ce qui est en décalage avec l’objectif de qualité de nos missions.

Sur la synthèse de l’évaluation :

"En synthèse, à l’issue de cette phase, 61 % des stagiaires indiquent avoir apprécié l’intégralité de la formation (socle + bloc fonctionnel). Toutefois, les stagiaires souhaitent que la formation soit rééquilibrée au profit du bloc fonctionnel. En outre, ils aimeraient que l'accent soit mis sur la spécialisation."

Ce sont donc en conséquence 40 % des stagiaires qui considèrent que la formation n’est pas à la hauteur.

Sur ce point, Solidaires Finances Publiques considère toujours que la formation rénovée est trop courte pour dispenser correctement l’ensemble des enseignements. La demande des collègues d’avoir une formation plus axée sur le bloc fonctionnel traduit le raccourcissement violent qu’a subi la formation. Un seul mois sur la spécialisation, c’est beaucoup trop peu. Et la formation complémentaire dans les services dépendra beaucoup du service d’affectation.

Solidaires Finances Publiques revendique toujours le retour à une durée de formation qui permette aux stagiaires de maîtriser à la fois l’ensemble de l’environnement de la DGFiP et la technicité de leur futur métier.

Pour finir sur le document 3, nous souscrivons pleinement aux remarques sur les formateurs et formatrices :

"Enfin, la disponibilité, la bienveillance et le soutien des formateurs ont été particulièrement appréciés des stagiaires."

Solidaires Finances Publiques rappelle d’ailleurs ses craintes sur les difficultés ressenties par les collègues chargés de formation, et le taux très élevé de départ des établissements de formation, notamment celui de Noisiel. La qualité de la formation dépend en grande partie des collègues qui la transmette au quotidien, et les capsules et autres e-formations ne remplaceront jamais leur présence.

4/ Sur le questionnaire d’installation en formation pratique probatoire

Le questionnaire a été ouvert du 22 au 26 mai 2023 : 813 inspecteurs stagiaires sur 1 140 ont répondu, soit un taux de participation de plus de 71 %.

Il est important d’avoir des remarques à chaud, avant le questionnaire en clôture de stage. Nous considérons cependant que le délai de réponse demandé était trop court, et que le taux relativement bas de 70 % de réponses s’explique en partie pour cette raison.

Les taux peuvent sembler bons, mais au niveau des questions formulées, ceux-ci devraient approcher les 100 % à notre sens :
- 7 % des collègues n’ont pas de tuteurs, et 8 % ont leur chef de service comme tuteur ;
- 5 % des collègues n’ont pas le matériel nécessaire à l’accomplissement de leurs tâches ;
- 7 % font remonter des difficultés dès le début de leur stage.

Avez-vous eu des contacts de stagiaires sur ces problèmes ? Un courrier de relance va-t-il être fait pour proposer aux collègues de faire remonter leurs difficultés au vu du nombre de problèmes ? 5 à 7 %, ce sont 50 à 70 collègues !

D’après les retours que nous avons eus, un mois après le début du stage probatoire, de nombreux stagiaires n’ont eu aucun contact avec leur enseignant référent, pas même un mail de rappel du référent… Est ce normal ?

Au vu des difficultés que rencontrent les enseignants depuis la refonte de la scolarité, nous imaginons sans peine qu’ils soient débordés dans cette période de scolarité des agents C, et qu’ils n’aient que peu de temps et de marge de manœuvre pour assurer cette tâche ! Sur les remontées des stagiaires que nous avons eues, nous pouvons témoigner que l’accueil et les moyens mis en place sont extrêmement disparates suivant les directions d’accueil. Certaines directions ont mis en place des séances d’accueil de 3 jours pour présenter services, locaux, missions et répondre à l’ensemble des interrogations. Alors que d’autres ont modifié l’affectation des stagiaires le vendredi soir pour le lundi matin, sans même se donner la peine de donner l’adresse du nouveau service... Pour cet exemple navrant, nous l’avons déjà évoqué en GT Formation professionnelle, et espérons que la gravité de la situation soit prise en compte pour que cela ne se renouvelle pas.

Par ailleurs, pouvez-vous nous confirmer qu’aucun stagiaire ne se retrouve affecté sur un bloc différent de sa formation ? Ou ne le sera au 1er septembre ?

Pour d’autres collègues, leur tuteur chef de service leur a clairement dit qu’ils n’allaient pas être à leur poste de stage en septembre et les laisse donc « de côté » en leur demandant par exemple de « produire » des fiches 3909 sans appui des collègues expérimentés qui sont eux aussi en difficulté pour trouver de la matière.

De même, certains tuteurs chefs de services ont invoqué en public les difficultés de santé de certains collègues stagiaires en leur disant qu’ils étaient « un caillou dans leur chaussure ».

Face à cette incertitude sur le poste d’affectation et ces comportements des chefs de services, il est à déplorer le manque de réaction de l’ENFiP, où comme lors des années précédentes, des enseignants référents ont répondu « serrez les dents et attendez votre titularisation, nous ne pouvons rien faire... ».

Nous avons aussi des remontées de services où le volume horaire des 35 heures est très très loin d’être respecté pour les stagiaires !

De même les stagiaires sont mis en difficultés financières à cause des déplacements imposés par les stages et sorties terrains, pour lesquels ils n’ont pas de remboursement. Certains stagiaires ont 10 jours, voire plus, de formation programmée pendant leur stage probatoire, alors qu’aucun remboursement de frais n’est possible pendant cette période.

La gestion RH des stagiaires étant toujours du ressort de l’ENFiP, en liaison avec les directions d’affectation, Solidaires Finances Publiques demande qu’une note de rappel soit envoyée au réseau pour tous ces points, pour que les modalités du stage soient respectées dans tous les services d’affectation.

5/ Sur la présentation du projet Ariane

Nous vous remercions d’avoir accédé à notre demande du précédent conseil de promotion de présenter ce projet. Pour Solidaires Finances Publiques, le passage d’une partie de la formation en format digitalisé n’est pas neutre. Si le passage temporaire sous ce format pour des raisons de taille des promotions pourrait être entendable, nous craignons sa pérennisation dans un seul objectif de réduction de coût.

En préambule sur ce document, Solidaires Finances Publiques s’interroge sur l’utilisation croissante des cabinets de consultants à la DGFiP, sur leur coût, et sur la compatibilité avec les valeurs du service public.

Sur la position du cabinet de consulting Viaaduc qui a réalisé la prestation du projet Ariane, nous lisons avec inquiétude leur présentation sur leur site :

« Notre vision : Placer chaque individu au cœur du changement pour faciliter l’adhésion et la réussite de vos projets de transformation !​ En effet, les entreprises et organisations contraintes de se transformer se heurtent à la résistance de leurs propres équipes. »

Cela fait tristement écho pour Solidaires Finances Publiques au module sur l’accompagnement du changement (avec la tristement célèbre courbe du deuil) sur laquelle nous sommes déjà intervenus lors des deux précédents conseils de promotion.

Sur la plaquette de présentation du projet Ariane, nous avons noté avec intérêt les interrogations sur la difficulté de sa mise en place pour les stagiaires A :

« (…) la grande diversité des parcours proposés en seconde partie de scolarité pour les inspecteurs stagiaires (6), auquel s’ajoutent la création d’un nouveau parcours par la scission du tronc commun gestion fiscale des professionnels et gestion fiscale des particuliers et la densification du parcours PCRP, vont rendre les travaux de digitalisation fort complexes davantage que pour les contrôleurs. La volumétrie de cours à digitaliser pour arriver à la formule dit du 4+1 est telle qu’il a été décidé qu’elle se ferait sur 2 ans. Il s’agit donc dès à présent de déterminer l’ensemble des séances qui seront à digitaliser pour n’en réaliser qu’une partie avant la fin de l’année. »

Pour Solidaires Finances Publiques, cela amène de nombreuse questions :
- quels sont les modules qui seront en format enseignement auto-apprentissage pour la session 2023-2024 ?
- quels sont les modules complémentaires qui seront en format enseignement auto-apprentissage pour la session 2024-2025 ?
- comment avez-vous fait le choix des modules retenus ? Comment avez-vous déterminé la réduction du temps d’apprentissage ? Vous donnez l’exemple d’une réduction de temps de 15h à 7h (dont 4 en distanciel et 3 en présentiel). Comment faites-vous ce calcul du temps d’assimilation ?
- lors du GT Formation professionnelle, vous nous avez annoncé que le format "4+1" serait en fait pour les stagiaires A un format avec un jour de travail en distanciel tous les 15 jours. Avez-vous prévu de passer en format 1 jour par semaine pour la session 2024-2025, c’est-à-dire une fois que tous les modules choisis auront été digitalisés ?
- ce format d’apprentissage via des cours digitalisés se limitera-t’il à la période de fort recrutement des prochaines années, ou avez-vous décidé d’ores et déjà de le pérenniser ?

Sur ce dernier point, Solidaires Finances Publiques craint d’avoir déjà la réponse au vu des informations publiques sur le projet, que l’on peut retrouver sur le site du cabinet Viaaduc, mais nous préférions avoir une réponse en interne :

« Afin de faire face à un volume croissant de stagiaires dans les promotions mais également dans l’objectif de faire évoluer les modalités d’apprentissage de ses stagiaires, notre client a lancé un vaste programme de digitalisation de ses différentes scolarités. L’ambition, pour chaque scolarité, est de transformer des parcours de formation animés 100% en présentiel en des parcours mixtes sous le format 80% en présentiel et 20% en digital (auto-formation). »

6/ Points divers

Pour finir sur ce conseil de promotion, Solidaires Finances Publiques aura plusieurs points divers, notamment sur la situation des collègues enseignants et l’état de discussion sur leurs revendications, mais aussi sur l’installation du portique avec carte d’accès sur le site de Noisiel.

En conclusion, Solidaires Finances Publiques considère que le sujet de la formation professionnelle est à un tournant à la DGFiP.

Les très forts volumes de recrutement des prochaines années, et les impératifs imposés de transformation de l’organisation du travail dans un carcan de réduction budgétaire ont un impact très fort sur la formation initiale.

Solidaires Finances Publiques revendique la prise en compte des difficultés du terrain, via les remontées des stagiaires et des équipes pédagogiques, pour que la formation initiale ne perde pas le cap de sa vocation : une préparation interne, de qualité, à l’ensemble de nos missions.