La journée nationale de manifestations contre les violences faites aux femmes du 24 novembre 2018 a réuni pas moins de 50 000 personnes dans les rues, dans plusieurs villes de province et à Paris.
Injures sexistes, affichage pornographique, propos sexistes, attouchements, agressions sexuelles, viols… les violences sexistes et sexuelles existent aussi dans le monde du travail. A ce titre, le syndicalisme est directement concerné mais il s’agit aussi de pouvoir apporter un soutien efficace aux femmes victimes de violences en dehors du travail, dans leur vie familiale. Ces violences ont toujours des conséquences négatives pour les salariées qui les subissent. Le syndicalisme doit donc être à l’écoute de ces femmes et intervenir au niveau le plus efficace.
La journée nationale de mobilisation contre les violences faites aux femmes approche. C'est samedi prochain, le 24 novembre 2018.
Depuis les mouvements #MeToo et #BalanceTonPorc, la parole des victimes de violences sexistes et sexuelles s’est libérée. La prise de conscience que ces violences existent, dans toutes les sphères de la vie de chacun-e, personnelle et professionnelle, ne doit pas s’essouffler aujourd’hui.