Un 1er mai dans une année de lutte
Le 1er mai est une journée de lutte internationale pour la justice sociale et de solidarité. C’est un symbole toujours vivant. Cette journée n’est pas « la fête du travail ». Ce n’est pas « juste un jour chômé ». Car il s’inscrit dans une histoire sociale : le 1er mai 1886, les travailleuses et travailleurs de Chicago et de tous les Etats-Unis se levaient pour réclamer plus de justice sociale, un temps de travail réduit, des conditions de travail décentes, bref une vie digne d’être vécue. La police leur répondait par les armes, tuant plusieurs dizaines de manifestant-es.
Ce jour est un moment de solidarité entre tous ceux et toutes celles qui luttent pour leurs droits....
Deux initiatives auront lieu ces prochaines semaines qui mettent les syndicats devant leurs responsabilités. L'Union syndicale Solidaires prend les siennes.
Partant d'une contestation contre l'augmentation des prix des carburants, et plus largement de celui de l'énergie, le mouvement dit des "gilets jaunes" cristallise une plus large opposition vis-à-vis des politiques fiscales, économiques, sociales et écologiques du gouvernement, politiques erratiques, incompréhensibes, illisibles et surtout profondément inégalitaires et inefficaces.
Les taxes sur les carburants ne sont ni sociales ni écologiques
Le train est lancé et devrait arriver en gare au premier semestre 2019. L'exécutif a bien l'intention de mettre en oeuvre une énième réforme des systèmes de retraites. Mais cette fois-ci, pas question de mégoter ou d'adapter à la marge. C'est une révolution qui se prépare en coulisses avec des conséquences sans précédents, tant pour les actifs qui peuvent prétendre à un repos bien mérité que pour les actuels retraités et pensionnés.
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