L’année 2019 s’efface, mais elle restera sans conteste dans les mémoires. Constellée de mobilisations, notamment à la DGFiP, elle se termine sur une séquence de cristallisation de toutes les colères exprimées ou retenues.
C’est sans doute une habitude de beaucoup de foyers, notamment ceux dont les revenus sont faibles, mais pas seulement, de faire régulièrement leurs comptes et de suivre scrupuleusement la balance entre recettes et dépenses.
Cette quatrième journée de mobilisation interprofessionnelle depuis le 5 décembre a encore démontré la puissante détermination du monde du travail à faire capituler le gouvernement.
Les personnels de la DGFiP rejettent les projets des pouvoirs publics, notamment celui visant à la destruction méthodique de notre administration.